Lorsqu’il est question de transition énergétique, les Etats ne sont pas à une contradiction près. Encore moins la Chine, sorte de docteur Jekyll et Mr. Hyde en la matière. Evacuons d’emblée le côté Mr. Hyde, la part sombre : elle demeure le plus grand émetteur de CO2 de la planète, quasiment un tiers des rejets mondiaux annuels. Son électricité reste profondément carbonée, sous perfusion au charbon à près de 60 %, et des centrales continuent de sortir de terre. Mais de récents signaux font dire à certains experts que le pays pourrait avoir atteint son pic de rejets de gaz