* . *
Le Gorafi

Standard&Poor’s dégrade l’état de vos finances de “Pas ouf” à “Pas folichon”

Standard&Poor’s dégrade l’état de vos finances de “Pas ouf” à “Pas folichon”



C’est une décision qui était attendue en ce mois de novembre. L’agence Standard & Poor’s a donc décidé d’abaisser votre note à “Pas folichon” après avoir examiné vos relevés bancaires des derniers mois. Stéphane Boussard, analyste financier, nous révèle les dessous de cette décision : “Ils ont constaté des dépenses non réfléchies, comme un AirFryer Pro à 199 euros à la fin du mois de septembre, ou encore une tournée de shooters samedi dernier au bar Le Loco Loco, alors que le compte en banque était déjà dans le rouge. Pour Standard & Poor’s, ça ne passe pas.” 

Moody’s sur le point d’abaisser également votre note

L’agence vous met donc en garde et menace d’abaisser votre note à l’état de “C’est la merde grave”, ce qui signifierait alors une obligation de demander un financement à vos parents pour renflouer votre compte. Cela pourrait être embarrassant à quelques semaines de Noël et diminuerait significativement votre nombre de cadeaux sous le sapin. 

Pour l’instant, l’agence de notation Moody’s a décidé de maintenir votre note à “Pas ouf”, mais pourrait emboîter le pas de Standard & Poor’s, surtout après les révélations de votre banquier, qui reste sans réponse à ses 34 appels et 14 e-mails.
L’article Standard&Poor’s dégrade l’état de vos finances de “Pas ouf” à “Pas folichon” est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.



Source link : https://www.legorafi.fr/2024/11/21/standardpoors-degrade-letat-de-vos-finances-de-pas-ouf-a-pas-folichon/

Author : La Rédaction

Publish date : 2024-11-21 09:00:00

Copyright for syndicated content belongs to the linked Source.

Tags : Le Gorafi
Exit mobile version

.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . %%%. . . * . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - . . . . .